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  • nouveaux horaires à La Réserve Mantes-la-Ville

    Du mardi au samedi de 9 h 30 à 19 h 30 sans interruption. Feré dimanche et lundi.

  • Marc Dufumier à La Réserve mercredi 14 mars 20 h45

    Sur le bio, l’agriculture, les rapports Nord Sud. Un débat organisé avec la Biocoop du Mantois

  • Hélas La réserve à Epône c’est fini ! La Biocoop continue, bien sûr !
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    Hélas La réserve à Epône c’est fini ! La Biocoop continue, bien sûr !

Entremonde de Nail Gaiman et Michael Reaves (éd. Au diable Vauvert)

par Magali Leguy
Un roman de science-fiction bien mené, destiné aux rêveurs et à tous les observateurs d’étoiles !

Neverwhere de Nail Gaiman (éd. Au diable Vauvert)

par Magali Leguy
Et si la station Michel-Ange renfermait, loin dans ses sous-sols, un peintre qui continuerait à élaborer ses fresques ou bien un ange réel ? Et si la station Palais Royal se transformait en une demeure aux salles remplies de chandelles et à la cour peuplée de serviteurs ? Suivez Neil Gaiman !

Les jeux de la nuit de Jim Harrison (trad. Brice Matthieussent, éd. Flammarion)

[par Nathalie Goldgrab]
Jim Harrison est de retour : embarquement immédiat pour le Grand Ouest américain, ses lacs, plaines et forêts, ses indiens et ses vieux cow-boys, la pêche, la chasse, l’alcool, le sexe, la littérature…
Tous les thèmes de prédilection de l’auteur se retrouvent dans ce recueil de trois nouvelles qui célèbrent la nature et la liberté, en constante opposition à la sauvagerie et brutalité de notre environnement social.
Trois portraits bienveillants et tendres dans des paysages grandioses, loin des figures sombres des westerns crépusculaires.

Féroces de Robert Goolrick (trad. Marie de Prémonville, éd. Anne Carrière)

[par Nathalie Goldgrab]
Un livre coup de coeur et un sacré coup de poing.
«Ecrire, c’est aussi ne pas parler. C’est se taire. C’est hurler sans bruit.»

Une bien étrange attraction de Tom Robbins (trad. François Happe, éd. Gallmeister, coll. Americana)

[par Nathalie Goldgrab]
Si vous aimez les histoires déjantées mâtinées de mysticisme et de philosophie pratiqués en dilettante, les héros saugrenus et les narrateurs qui ont des hémorroïdes ; si un pastiche de la culture hippie vous tente malgré un décalage de près de quarante ans qui fait que certaines audaces littéraires ou subversions éhontées passent aujourd’hui inaperçues ; si vous aimez le style frénétique et bouillonnant de Tom Robbins qui excelle à relier dans une phrase des éléments dont la combinaison est follement incongrue ; si vous êtes prêts à subir un feu d’artifices d’imagination débridée qui vous bombarde l’esprit comme le harcèlement d’une guêpe lors d’agapes estivales, alors cette bien étrange attraction est faite pour vous !

La malédiction des colombes de Louise Erdrich (trad. Isabelle Reinharez, éd. Albin Michel)

[par Nathalie Goldgrab]
Au son d’un violon presque magique, des destins individuels et familiaux vont s’entrechoquer, résonner entre eux, créer un labyrinthe de tensions dramatiques et de secrets bien gardés, un maillage inextricable d’intérêts, d’émotions et de sentiments, un enchevêtrement de fils de vie comme animés par les Moires implacables et facétieuses.

Louise Erdrich, fille métis d’une indienne et d’un américain d’origine allemande, nous conte avec rondeur cette histoire sépia à travers plusieurs narrateurs qui confrontent leurs différents points de vue et entremêlent les récits au passé et au présent. Chacun à sa manière livre une bribe de la vérité, dévoile un aspect de sa vie ou de celle de ses proches, apporte une pierre à l’édifice local, témoignage vivant et humain d’une petite fabrique de l’histoire en kaléidoscope.

Bellefleur de Joyce Carol Oates (traduit par Anne Rabinovitch, éd. Stock)

[par Nathalie Goldgrab]
Restez concentrés, reportez-vous souvent à l’arbre généalogique indispensable, soufflez de temps en temps (les lectures en apnée ne sont pas recommandées) et laissez-vous emporter par la plume romanesque d’une magicienne des mots.